AXE DU MAL
(29 mai 2002)

Le Québec est l'axe du mal, nous sommes tombés en plein dedans.

Quand la démence s'emparre des pouvoirs publics, les plus démunis de la société peuvent craindre le pire (Saint-Jean BOSCO).

Exemple : Lucienne SAVARD ; génocide des enfants de DUPLESSIS. Ceci se rapporte à plusieurs politiciens corrompu qui se comportent comme des valets vis à vis leur patrons (haut fonctionnaires), ces gens en poste qui leur dictent comment se conduire dans leur ministères respectifs auquels ceux-ci se font nommés par le premier ministre même s'ils ne possèdent aucune expérience ou expertise. En plus, si un tel ministre se fait rabrouer par des révélations de corruption ou similaire, vous verrez alors le premier ministre qui banalement les tranféreront dans un autre ministère. Ex.: l'ancien ministre des finances, Bernard LANDRY devenu premier ministre, Serge MÉNARD ancien ministre de la justice abaissé au titre de ministre de la métropole, Linda GOUPIL elle aussi à la justice maintenant attitrée comme ministre du ministère de la famille et de l'enfance, André BOISCLAIR ancien ministre responsable des relations avec les citoyens devenu Ministre responsable de la région de Montréal, Joseph FACAL ministre des Relations avec les citoyens et de l'Immigration maintenant ministre responsable de l'Administration et de la Fonction publique etc... et Nicole FONTAINE ancienne curatrice publique devenu Présidente-directrice générale de l'Office de la protection du consommateur la plus ignoble des fonctionnaires (incluant le ministre André BOISCLAIR) intervenants au dossier de Lucienne SAVARD ... Toutes ces personnes furent contactées pour de l'aide et du secours à l'égard des mauvais traitements infligés à ma soeur (orpheline et martyre sous les gouvernement depuis DUPLESSIS jusqu'à Bernard LANDRY en passant par Lucien BOUCHARD avec la complicité tacite et honteuse de Bruno ROY président du Comité des orphelins de DUPLESSIS (COOID) et son conseil d'administration.

Ce gouvernement en place peut compter sur plein de pions et d'espions. Que nous reste t'il, vers qui pouvons nous nous tourner pour obtenir justice et de l'aide. Devrions-nous nous tourner vers la SPCA ... ?

Je ne crains pas de me tromper en aafirmant que le gouvernement de Bernard LANDRY est une réplique ou une copie de gangstériste d'un autre forme de MAFIA, de dictateurs, de criminels, de meurtriers, de tortionnaires, de complices de meurtres après les faits, d'abus de pouvoir, d'entrave à la justice, d'outrage au tribunal, fraude avec le gouvernement (art 121 du Code criminel), de génocide, complot (art 463 C.C.) meurtre (art 235, C.C.), corruption de fonctionnaires (art 120, C.C.) méfaits commit par le premier ministre (art. 430, C.C.), séquestration (art. 279, C.C.), torture (art. 269.1 C.C.) pour ne nommer que ceux-ci et l'article 311 : Quand la vérité devient un moyen de défense.

Pour ceux qui seraient sceptiques à ces allégations, allons voir ce que le protecteur du citoyen Daniel JACOBY avait écrit le 20 décembre 1998 dans son livre : JACOBY, DANIEL. Le protecteur du citoyen.  Trois-Pistoles, Les éditions Trois-Pistoles, 1998, 368 pages. ISBN 2-921898-55-1:

Le domaine ratissé par l'ombudsman est large, autant que la place prise par l'État de droit dans les sociétés modernes. Pas grand chose ne lui échappe. Des titres de chapitres pris au hasard en font foi: «Une justice au visage humain», «L'école, un peu, beaucoup, à la folie», «Le droit de cité comme obstacle au racisme», «En affaires, les droits humains sont‑ils rentables», etc. Il s'attaque à des problèmes aussi généraux que le droit de mourir dans la dignité, et aussi actuels que la lutte au déficit et son impact sur les programme sociaux.

Dans ce domaine, il note que «Sans nier le rôle essentiel des entreprises ni la nécessité d'utiliser l'argent des contribuables de façon responsable, il est évident que le marché ne peut régler à lui seul le phénomène de la pauvreté. » Quelques aberrations récentes illustrent son propos. Il est arrivé, par exemple, que l'annonce de la création de 624 000 emplois aux États‑Unis en mars 1996 provoque une panique boursière. Les savants analystes expliquaient que les bonnes nouvelles pouvaient faire augmenter l'inflation et par conséquent les taux d'intérêt, ce qui serait très mauvais pour les profits et l'investissement. Autre drôlerie de l'histoire récente, Me Jacoby mentionne l'expérience de la Nouvelle‑Zélande, citée comme un modèle de thérapie néolibérale qui devait être salutaire pour l'État. Les résultats seraient fort décevants.

Finalement, Me Jacoby élabore un pacte social dont l'objectif est de rééquilibrer les rapports entre les citoyens et les services publics, en offrant aux serviteurs de l'État de reconnaître concrètement les situations où les libertés et les droits pourraient être mis en péril. Au nombre des dangers qui guettent les gestionnaires, il note qu'«il arrive que l'on se conduise en propriétaire absolu du domaine qu'on administre ... on consulte peu ou pas.,'. on devient le seul juge. » Mais il met aussi les employés de l'Etat en garde contre l'attitude inverse, qui consiste à se comporter comme un simple exécutant, abdiquant même toute responsabilité.

L'ombudsman est souvent amené à prendre à rebrousse‑poil politiciens, administrateurs de services publics, grands commis de l'État. Ce serait sans doute bien pire s'il avait, comme ses collègues de Finlande et de Suède, un pouvoir d'inspection et un rôle actif dans le domaine policier, le secteur carcéral, l'armée, les hôpitaux psychiatriques.

 

LE PROTECTEUR DU CITOYEN Daniel Jacoby Éditions Trois‑Pistoles, 368 pages


En conclusion (suite)

Ce qu'il doit obligatoirement fait pour rectifier car quand bien même que je dirais vrai ce ce qui a été avancé ci-haut si ça se perdure comme ça, à savoir, même si tout le monde ou presque disent que les politiciens sont corrompu selon les derniers sondages et que vous n'avez aucun autre recours contre eux qui seraient de les changer à tous les quatre ans et que nous n'avez d'autres alternatives que de réélire l'opposion (les frères jumeaux) qui étaient là avant eux, on tourne en rond et eux ils sont morts de rire avec leur généreuses pension payés à même nos contributions de citoyens lésés.

Je crois sincèrement que les règles du jeu devraient être amandées afin le monde politique assurent réellement la protection auquelle nous avons droit et que nous nous attendons d'eux. Il faudrait que les fonctionnaires qui ont magouillés par le passé rendent des comptes devant la justice, la vraie justice, et qu'ils payent à leur tour pour tous les torts causés par des amendes ou du temps de prison et banir leur fond de pension.

L'actuel gouvernement refuse de faire toute la lumière sur la mort soudaine et atroce qu'à subie ma soeur Lucienne SAVARD dans la famille d'accueuil de madame Saint-Pierre TREMBLAY au 265 rue Lafrance, Longueuil décédée vers le 23 avril 2000. Il faut le souligner, c'est ce qu'on appelle un meurtre presque parfait avec en plus deux coroners corrompu pour ensevelir les preuves et circonstances du drame.

Le visage de Lucienne à sa mort ressemblait beaucoup à celui de Monsieur Richard BERNABÉ, mais en pire ! Malgré ça le coroner Louis AUTIER et la coroner en chef du district de Montréal, Anne-Marie DAVID qui ont avancés qu'elle serait morte d'une mort naturelle .... !

Le coroner AUTIER qui a commandé l'autopsie suite à ma demande nous a démontré que celui-ci ne possède aucune vraie notion que doit détenir un coroner, l'autopsie terminée, ce dernier m'interroge alors qu'il avait supposément toute l'information en main, laquelle établit l'âge de ma soeur à 59 ans et sa question allait comme suit : Dites-moi monsieur SAVARD, quelle âge avait votre mère ?

Un médecin vétérinaire aurait fait une meilleure évaluation que ce pseudo coroner, Louis AUTHIER.

Après que la morgue de Montréal ait conservé le corps pendant plus de cinq mois, ceux-ci m'ont refusé l'accès au corps afin de prendre des photos (éléments de preuve) et à l'enterrement on a fermé le cerceuil sans que toute notre famille ait la certitude que le coprs était bien dans ce cerceuil.

Et que dire des tous nouveaux médicament poisons (l'épival) que celle qui en avait la garde lui administrait sans précaution alors que nous de la famille avions exigés que nous ne voulions en aucun cas que notre soeur soit retournée dans cette famille d'acceuil à problêmes.

Le coroner Louis AUTHIER m'avait fait venir dans le poste de police de Longueuil pour me donné les résultats de l'autopsie et dès là, j'ai pu constaté avec ma cousine; madame Lionel BERGERON que les photos (trois) qu'ils nous montrait ne correspondaient en rien avec l'aspect terrifiant que nous avions constatés sur le visage de ma soeur lors de l'identification du corps à l'hôpital Pierre BOUCHER. Lorsqu'on a voulu posé des questions au détective et au coroner, nous avont été ballionnés, le coroner s'est levé en prétendant qu'il avait terminé son travail.

Le 12/09/00, lors de la deuxième rencontre avec la coroner en chef nous étions quatre personnes qui ont été victimes de la dictature de cette coroner en chef, Anne-Marie DAVID qui a encore là, nous a refusée de nous remettre entre les mains la photo qu'elle détenait dans sa main, elle nous a permis de la regarder de loin, soit d'une distance d'environ six à sept pieds. Malgré tout j'ai tenté de lui dire que cette photo ne ressemblait aucunement à l'image de ce que nous avions préalablement constaté, je lui ai dit qu'on avait pas le droit, sans notre accord, d'avoir modifier tout l'aspect du visage de ma soeur afin de camoufler les détails et les preuves de la violence de sa mort et en plus, elle nous dictait de ne plus poser de questions sous la menace de nous expulsés.

La dame qui a eu la garde de ma soeur a dit dans un rapport de police qu'elle était avec Lucienne à sept heure le matin pour sa toilette ensuite elle l'aurait retournée au lit en la bordant mais curieusement oubliant le petit déjeuné elle dit qu'elle est retournée la voir à 12:45 Hrs et là elle constate qu'elle ne respirait plus, déclarait-elle. Au lieu de se conformée à la loi qui prévoit qu'en cas de mort dans une famille d'accueuil (art 40) qui stipule que la personne qui détient l'autorité doit en aviser immédiatement un coroner ou un agent de la paix, celle-ci prétend avoir téléphonnée pour faire venir une ambulance, qui serait arrivée environ dix à quinze minutes plus tard et selon ses dires, rendue à l'hôpital le médecin aurait utilisé un défibrilateur sans succès et elle fut déclarée morte à 13:32 Hrs. Malgré que j'étais le seul proche parent dans la régions de Montréal, je fus avisé de sa mort que deux jours et demi plus tard.

Voir l'article de Presse du protecteur du citoyen

Le curateur public disait à mes soeurs de Québec que Lucienne recevait de très bon soins dans cette famille d'acceuil de Madame Saint-Pierre TREMBLAY. Lors de l'identification de son corps à l'hôpital et comme j'étais le premier qui a pénétré dans la salle, j'avais vu un corps sur une civière à ma gauche et je croyais qu'il s'agissait d'un homme âgé d'au moins quatre-vingt dix ans, je m'étais fait cette réflexion : "Pauvre homme, il a dû être battu à mort tellement il faisait peur à voir" c'est alors que le préposé de l'hôpital me dit : "revenez sur vos pas monsieur, car la personne que vous venez tout juste de passer c'est votre soeur". Deux autres personnes m'accompagnaient, dont madame Alice Quinton aussi orpheline de DUPLESSIS, et tous trois avons eu la même réflexion à savoir que nous étions assurés qu'elle était décédée d'une mort atroce et violente. Ma cousine; madame Lionel BERGERON, avait demandé au préposé s'il pensait comme nous, il fait un signe de tête confirmant nos constatations et appéhensions.

Oui, c'est vrai, son visage ressemblait à ce que j'ai écris ci-haut et nous sommes, moi et ma cousine, persuadés d'en connaître la raison qui serait, selon nous, tous les médicaments (poisons) que le psychiatre de l'hôpital Charles-Lemoyne le docteur Jean PÉLOQUIN lui a fait prendre tout le long de mon attente de passer en procès (plus de deux ans) et ces médicaments ont été administrés à ma soeur sans notre consentement de curateur privé au sens de la loi du curateur public et du Code civil, et avec la complicité des dirigents du Centre Horizon de Boucherville , Mrs LEBEAU et Phillipe LANDRY. Même si je les avisait qu'ils se devaient de respecter cette loi, il me répondait qu'il obéissait aux ordonnances du médecin psychiatre.

À force de consommer ces médicaments, ma soeur en venait à avoir des hallucinations terrifiantes, tels voir le démon et en plus, elle devenait dangereusement agressive jusqu'à frapper dans les murs et les portes.

Comme je l'ai déjà souligné dans mon dossier sur internet, le curateur public m'a volé mon role de curateur et de protecteur de ma soeur par des moyens scandalleux et injustes. L'aide juridique m'a fourni une taupe à titre d'avocat (Sylvain LALLIER) et un juge partial et injuste (le juge Louis CRETE). Je ne me souviens plus a combien de manquements professionnels de la part de cette taupe à mon endoit durant cet infâme procès monté de toute pièces par le curateur public; Nicole FONTAINE et leur avocat Me François DUPIN, Lita FLORES et le Cente Horizon et son responsable André ALLAIRE. Voici que ma taupe ne m'a pas permis aucun témoins alors que la partie adverve avait une bonne douzaine de faux témoins, il prétendait ne pas avoir de temps pour faire sortir les dossiers hospitaliers que je lui demandait et pourtant il en a eu pour faire venir de Saint-Ferdinand un dossier non pertinent que j'avais en ma possession et pour couper ça plus court, ce JUDAS s'est permit toute une boutarde en mon endroit en me demandant si j'avais pas déjà couché avec ma soeur. Qu'a t'il reçu en retour ? On m'a obligé de témoigné contre moi-même, poutant l'article 33.1 de la Charte nous protège contre de tels tactites. J'ai porté plainte contre lui au syndic du Barreau du Québec, on m'a répondu qu'on croyait à sa version plus qu'à la mienne.

Pour avoir voulu dénoncer ce système pourri, eh bien ils se sont vengés sur ma soeur en l'envoyant à l'abbatoir du gouvernement le tout puissant qui est encore en poste avec ses magouilleux, ses pions et espions qui vous surveille et qui vous attend dans le détour et quand vous tombez dans leur filet, eh bien malheur à vous.

J'ai eu beau avoir écrit à la ministre de la justice du gouvernement fédéral, madame Anne McLallen et ce tout dernièrement en lui précisant que je ne sentais pas en sécurité au Québec, et j'ai eu comme réponse que cela ne les regardait pas. Le lendemain elle était mutée à un autre ministère ...

2 ième conclusion

On entend constamment parler que les Hells sont devant la justice, ceux-ci, s'ils sont déclarés coupable de quoi ce soit, ils peuvent craindre de faire du temps de prison, mais ces fonctionnaires corrompu avec certain ministres si ceux-ci se comportent comme ces gens en gangtérisme eux ils savent que rien ne peut les atteindre car ils ont tous les pouvoirs en mains, c-à-d, abus de pouvoir, l'argent etc... !

Tandis que nous, gens du petit peuble qui avons à subir de telles horreurs soulignés ci haut, la seule chose que nous reste à faire est de les déloger après leur mandat de quatre ans pour les remplacer par qui ... par l'autre gang qui était là avant, qui eux sont du pareil au même, voilà pour la démocratie au CANADA.

Je ne crains pas de dire que ma soeur est une autre victime de génocide martyre du Québec commit envers d'autre milliers d'enfant de DUPLESSIS.

Quand les larmes et le sang n'ont plus aucun sens ...

Pourquoi j'ai été capable d'avoir prit soin de ma mère jusqu'à sa mort alors qu'elle avait quatre vingt six ans, mais au Québec, si vous avez le maheur de vouloir dénoncer des mauvais traitements sur quelqu'un de votre famille, dans mon cas, tout ce qu'ils ont eu à faire, ça été de demander au curateur public de m'enlever mes droits (ma curatelle privé auprèes de ma soeur)

Pourtant le role du curateur public, selon sa loi, est de défendre les droits des plus démuni, n'est-ce pas justement ce que lui reprochait le protecteur du citoyen dans les années 96, 97, 98 et autres. Celui-ci n'a pas changé puisque je connais d'autres cas similaires à celui de ma soeur ou le curateur public se comporte de la même manière. Je continu à demander une enquête indépendante du système de santé sur la mort de ma soeur s'impose, ce que nous refuse toujours le premier ministre Bernard LANDRY. Nous exigeons que des tests au polygraphe soient passés à nombre de personnes dans le système corrompu québécois.

Monsieurs DUMONT et CHAREST, ou étiez-vous lorsque Bernard LANDRY a passé son décret à la vitesse de l'éclair avec Bruno ROY contre les enfants de DUPLESSIS et sutout contre la mémoire des orphelins morts avant le 30 juin 2001 ?

Dans son jugement, il est dit au curateur public qu'il se devait de me porter respect surtout lors des traitement médicaux administrés à ma soeur, et il a lamentablement failli à cette recommendation, le curateur a donc commit un outrage au tribunal sur cette question. Lors de mon procès le juge demandait à ma famille de se réunir pour connaître la décision à savoir si on voulait mon remplacement comme curateur et tous ont été unanimes à voulir me conserver à cette fonction. Par la suite nous avions avisés les deux avocats que nous ne voulions absolument plus jamais le retour de notre soeur dans cette famille d'acceuil car celle-ci lui infligeait de mauvais traitements, tels des coups de bâtons, des coups de poing au visage et elle la surmédicamentait dangereusement.

Au sujet de ces traitements inhumains et barbares, un proche parent du premier ministre Bernard LANDRY en était témoin, le premier ministre en fut avisé sans aucune réaction de sa part pour faire cesser ce massacre.

On se pose la question suivante, pourquoi lui a t'on administrer de tels nouveaux médicaments aussi puissants tel, l'épival, car ce médicament, selon le livre sur les médicaments, est considéré dangereux si mal administré ou à forte doses et peut envoyé une personne dans le coma ?

Le crime presque parfait de ma soeur a tombé pile pour Bernard LANDRY ce qui va lui faire épargner au moins 60,000.00 $ selon le décret passé en toute vapeur par le gouvernement et entériné par M. Bruno ROY. Il faudrait demandé à Bruno ROY quel avantage cela lui a t'il procuré pour avoir vendu, comme un Judas, les droits de sucession des orphelins de DUPLESSIS décédés avant le 30 juin 2001. Monsieur Bruno ROY, lorsque vous citiez Gandi qui disait : "Une injustice commise à l'un d'entre nous est une menace pour tous" est-ce que vous vous nourissez du sang de ma soeur ?  N'y a t'il pas de trace dans vos mains ?

Rosaire SAVARD

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